|
|
|
|
|
|
La dégustation |
|
|
Robe dorée, brillante et lumineuse. |
|
|
| |
|
Nez ample et distingué, arômes de cannelle, de fleurs blanches, de noix et de poivre. |
|
|
| |
|
Bouche élégante et raffinée, l'ensemble est doté d'une grande finesse de style, longueur de bouche impressionnante sur des notes beurrées et toastées. |
|
|
|
Les conseils du sommelier |
|
|
A servir entre 10 et 12°C. |
|
|
| |
|
Crustacés, poissons nobles, volailles et viandes blanches. |
|
|
| |
|
A boire jusqu'en 2030 |
|
|
|
Le domaine et le vin |
|
|
Louis Henry Denis Jadot fonde la Maison Louis Jadot en 1859. Son fils Louis Jean Baptiste lui succédera en 1900 et poursuivra le développement en achetant de nombreuses vignes, dont le Corton Charlemagne et le Chevalier Montrachet Les Demoiselles. Les domaines de la Maison s'étendent aujourd'hui sur 154 hectares en Côte d'Or, dans le Mâconnais et dans le Beaujolais. Sa réputation a depuis longtemps dépassé les frontières hexagonales, une véritable référence. |
|
|
| |
|
Véritable apothéose de l’expression du chardonnay, le Corton-Charlemagne de la Maison Louis Jadot démontre bien en 2007 qu’il est un grand cru à part. La grâce du cépage établit un lien particulièrement étroit avec le caractère de son terroir. En accompagnement des notes beurrées, toastés, le bouquet s’exprime sur une dimension plus profonde : crayeuse et racinaire avec une infinie puissance. |
|
|
| |
|
Vinification traditionnelle, élevage en fûts de chêne d'une durée de 18 à 20 mois, dont une partie en fûts neufs. |
|
|
|
Récompenses |
|
|
Robert Parker : 94/100 |
|